Sainte-Roseline
Contenu
Commune, lieu-dit
Toulon
Nom du clocher
Sainte-Roseline
Patron
Saint Cyprien
Titulaire
Sainte Roseline
Détachement ou ancien ressort
Détachée de la paroisse Saint-Joseph
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 seule nef
- Voûte en ciment armé
- Chœur avec tableau de sainte Roseline
- Maître-autel, pierre reposant sur 2 fûts de colonne
- Façade portant une niche à son pignon
- Porche roman entouré de voussures
- Voûte en ciment armé
- Chœur avec tableau de sainte Roseline
- Maître-autel, pierre reposant sur 2 fûts de colonne
- Façade portant une niche à son pignon
- Porche roman entouré de voussures
Notice
L’église Sainte-Roseline est destinée à desservir les quartiers de l’Escaillon et de Lagoubran.
Il existait déjà à l’Escaillon une chapelle sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Nativité, qui fut construite en 1845 pour les besoins du quartier. Un vicaire de la paroisse Saint-Joseph venait chaque dimanche y célébrer la messe. Mais quand le quartier fut devenu plus peuplé, un lieu de culte plus important s’avéra nécessaire. Il fut réalisé à proximité de la chapelle, qui fut alors conservée comme salle d’œuvres. Le 17 novembre 1935, la première pierre était posée et les travaux aussitôt entrepris. Ils durèrent un an et demi. Le 24 avril 1938, Mgr Simeone bénissait solennellement la nouvelle église qu’il dédiait à une sainte du diocèse, sainte Roseline. Cette église dont les travaux furent effectués selon les plans de l’architecte nîmois Sabatier, est d’un aspect moderne : le ciment armé tient une place importante dans sa construction. Elle ne comporte qu’une seule nef, qui est couverte d’une voûte d’une large portée. Le chœur est orné d’une peinture représentant sainte Roseline dans les diverses phases de sa vie. Le maître-autel assez simple consiste en une table de pierre reposant sur deux fûts de colonne. La façade, qui porte à son pignon une niche abritant la statue de la patronne de l’église, borde la route de Marseille. Elle s’ouvre d’un porche roman entouré de voussures et d’une élégante fenêtre en triplet dont les trois arceaux reposent sur des colonnettes.
Il existait déjà à l’Escaillon une chapelle sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Nativité, qui fut construite en 1845 pour les besoins du quartier. Un vicaire de la paroisse Saint-Joseph venait chaque dimanche y célébrer la messe. Mais quand le quartier fut devenu plus peuplé, un lieu de culte plus important s’avéra nécessaire. Il fut réalisé à proximité de la chapelle, qui fut alors conservée comme salle d’œuvres. Le 17 novembre 1935, la première pierre était posée et les travaux aussitôt entrepris. Ils durèrent un an et demi. Le 24 avril 1938, Mgr Simeone bénissait solennellement la nouvelle église qu’il dédiait à une sainte du diocèse, sainte Roseline. Cette église dont les travaux furent effectués selon les plans de l’architecte nîmois Sabatier, est d’un aspect moderne : le ciment armé tient une place importante dans sa construction. Elle ne comporte qu’une seule nef, qui est couverte d’une voûte d’une large portée. Le chœur est orné d’une peinture représentant sainte Roseline dans les diverses phases de sa vie. Le maître-autel assez simple consiste en une table de pierre reposant sur deux fûts de colonne. La façade, qui porte à son pignon une niche abritant la statue de la patronne de l’église, borde la route de Marseille. Elle s’ouvre d’un porche roman entouré de voussures et d’une élégante fenêtre en triplet dont les trois arceaux reposent sur des colonnettes.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 05
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND
Relation
Annonce de la pose de la Première Pierre de Sainte-Roseline, dans Semaine Religieuse 1935, n° 46, 16 novembre, p. 681-682
Compte-rendu de la pose de la première pierre de Sainte-Roseline, dans Semaine Religieuse 1935, n° 47, 23 novembre, p. 692-695