Saint-Sébastien
Contenu
Commune, lieu-dit
Rougiers
Nom du clocher
Saint-Sébastien
Patron
Saint-Sébastien
Saint Jean-Baptiste
Titulaire
Saint-Sébastien
Saint Roch
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
◦ 1 nef
◦ voûte d’arêtes
◦ portail plein cintre avec entablement
◦ voûte d’arêtes
◦ portail plein cintre avec entablement
Historique
- 1113 : mention dans la bulle du vieux Rougiers dans une bulle de Pascal II
- 1740 : construction de l’église actuelle
- 1740 : construction de l’église actuelle
Oeuvres d'art / Particularités
Une toile représentant le martyre de Saint Sébastien
Notice
L’église est dédiée à saint Sébastien. Elle fut construite en 1740, agrandie 13 ans après et bénite en 1760 par Mgr de Brancas, archevêque d’Aix.
Elle avait été précédée par d’autres sanctuaires, situés sur des emplacements différents, qu’occupèrent les habitants au cours des siècles.
Il y eut d’abord l’église du Pays-Vieux, du Castellum, que mentionnent les bulles des papes Pascal II en 1113, d’Innocent II en 1135. Puis il y eut l’église dite du Pays-Haut, agglomération située à quelques centaines de mètres du village actuel. Cette église était alors dédiée à Saint-Honorat. En 1372, une bulle du pape Grégoire XI la cite comme possession des Bénédictines de la Celle. Cette église après une nouvelle migration vers le bas pays perdit à son tour son titre paroissial et devint une chapelle dédiée à la Sainte-Vierge.
Au XVIe siècle, nouvelle descente vers la plaine et construction d’un sanctuaire plus proche des habitations. Il n’en reste plus rien sinon qu’une sorte de tour carrée reposant sur quatre colonnes et qui aurait été le clocher de cette église disparue. Enfin au XVIIIe siècle, on édifia l’église actuelle, qui est située au milieu du village. Elle fut bâtie quand les habitants eurent descendu encore plus bas dans la plaine. Elle se compose d’une nef couverte d’une voûte d’arêtes. Sa façade, qui aborde une large artère s’ouvre d’un grand portail roman que surmonte un entablement soutenu par deux pilastres. A l’intérieur, peu de choses se signalent à notre attention sinon une toile qui représente la martyre de saint Sébastien.
Elle avait été précédée par d’autres sanctuaires, situés sur des emplacements différents, qu’occupèrent les habitants au cours des siècles.
Il y eut d’abord l’église du Pays-Vieux, du Castellum, que mentionnent les bulles des papes Pascal II en 1113, d’Innocent II en 1135. Puis il y eut l’église dite du Pays-Haut, agglomération située à quelques centaines de mètres du village actuel. Cette église était alors dédiée à Saint-Honorat. En 1372, une bulle du pape Grégoire XI la cite comme possession des Bénédictines de la Celle. Cette église après une nouvelle migration vers le bas pays perdit à son tour son titre paroissial et devint une chapelle dédiée à la Sainte-Vierge.
Au XVIe siècle, nouvelle descente vers la plaine et construction d’un sanctuaire plus proche des habitations. Il n’en reste plus rien sinon qu’une sorte de tour carrée reposant sur quatre colonnes et qui aurait été le clocher de cette église disparue. Enfin au XVIIIe siècle, on édifia l’église actuelle, qui est située au milieu du village. Elle fut bâtie quand les habitants eurent descendu encore plus bas dans la plaine. Elle se compose d’une nef couverte d’une voûte d’arêtes. Sa façade, qui aborde une large artère s’ouvre d’un grand portail roman que surmonte un entablement soutenu par deux pilastres. A l’intérieur, peu de choses se signalent à notre attention sinon une toile qui représente la martyre de saint Sébastien.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 04
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
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