Saint-Jacques-le-Majeur
Contenu
Commune, lieu-dit
Plan d'Aups
Nom du clocher
Saint-Jacques-le-Majeur
Patron
Saint Jacques le Majeur
Titulaire
Saint Jacques le Majeur
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Marseille
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef
- Voûtée en berceau, arc légèrement brisé
- Abside en cul-de-four
- Pierres appareillées
- Clocher – mitre au chevet
- Voûtée en berceau, arc légèrement brisé
- Abside en cul-de-four
- Pierres appareillées
- Clocher – mitre au chevet
Historique
- 984 : Pons, évêque de Marseille, donne le prieuré de Saint-Jacques aux religieux de Saint-Victor
- 1113 : cette église est citée dans une bulle de Pascal II
- 1965 : l’église fait l’objet d’une importante restauration.
- 1113 : cette église est citée dans une bulle de Pascal II
- 1965 : l’église fait l’objet d’une importante restauration.
Oeuvres d'art / Particularités
Particularité : un cippe Gallo-Romain, ex-voto païen, se voit dans le mur de la façade. Il porte une inscription : « Matribus Almabus Sextus Vuidius Votum Libenter Merito »
Notice
Perchée sur une arête rocheuse, en à pic au nord, non loin de Saint-Zacharie, se dresse l’église Saint-Jacques-le-Majeur, qui, si elle n’est pas remarquable par ses proportions, l’est par son antiquité. On la trouve déjà mentionnée en 984. C’était un prieuré, qui était alors confié par Pons, évêque de Marseille, aux religieux de Saint-Victor. Mentionnée encore en 1113 dans une bulle de Pascal II ; puis en 1135 dans une bulle d’Innocent II. Cette marque d’antiquité se retrouve dans toute sa construction, dans ses murs, qui le crépi tombant laissent voir des pierres à la taille romaine. En avant du porche, un cippe gallo-romain engagé dans le mur d’entrée porte cette inscription latine : « Matribus Almabus sextus vuidius solvi libenter merito ».
Près de la porte se dresse un clocher-mitre. L’édifice menaçait ruine à la fin du siècle dernier. Il reçut alors les réparations qui s’imposaient.
En 1966, des travaux de restauration furent entrepris, qui mirent l’église Saint-Jacques dans son aspect primitif en décapant la pierre qui maintenant apparaît.
Près de la porte se dresse un clocher-mitre. L’édifice menaçait ruine à la fin du siècle dernier. Il reçut alors les réparations qui s’imposaient.
En 1966, des travaux de restauration furent entrepris, qui mirent l’église Saint-Jacques dans son aspect primitif en décapant la pierre qui maintenant apparaît.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 04
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
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