Sainte-Anne
Contenu
Commune, lieu-dit
Les Salles
Nom du clocher
Sainte-Anne
Patron
Sainte Anne
Titulaire
Sainte Anne
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Riez
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef
- Voûtée
- Abside de l’ancienne église, conservée
- Clocher accotant le chevet
- Voûtée
- Abside de l’ancienne église, conservée
- Clocher accotant le chevet
Historique
- 1038 : une église est construite, qui est confiée aux religieux de Saint-Victor
- 1877 : cette ancienne église est agrandie, la nef est allongée et la voûte surélevée. Malheureusement pour ce faire on dut supprimer l’ancienne voûte de pierres, qu’on remplaça par une voûte en briques.
- 1877 : cette ancienne église est agrandie, la nef est allongée et la voûte surélevée. Malheureusement pour ce faire on dut supprimer l’ancienne voûte de pierres, qu’on remplaça par une voûte en briques.
Oeuvres d'art / Particularités
- Retable du maître autel (XVIIe) « La Vierge et l’Enfant entourés de 3 saints »
- Un tableau de l’Annonciation
- Un tableau de l’Assomption
- Un tableau de l’Annonciation
- Un tableau de l’Assomption
Notice
L’église est placée sous le vocable de Sainte Anne. Elle a été agrandie et restaurée en 1877.
Avant ces travaux, cette église était bien petite ; elle ne pouvait plus contenir la population de la paroisse. Le curé David entreprit alors de la transformer et ses efforts persévérants furent couronnés de succès, puisque le 9 décembre 1877, le nouvel édifice recevait sa bénédiction.
A l’origine, cette église était dédiée à Sainte-Marie : elle était fort ancienne, car c’est en 1033 qu’elle paraît pour la première fois. Elle était alors donnée par l’évêque de Riez aux religieux de Saint-Victor. Ces moines la desservirent jusqu’à la fin du XVe siècle et laissèrent ensuite son administration aux prêtres du diocèse.
L’édifice se compose d’une nef, qui est voûtée et que de hautes fenêtres assez étroites éclairent. La façade s’ouvre d’une porte à plein cintre et le chevet est flanqué d’un clocher carré assez haut que coiffe un toit à quatre égouts. L’abside est tout ce qui reste de l’ancienne église. Les murs ayant été surélevés, la voûte de la nef, qui était en pierres, a fait place à une voûte en briques.
On peut voir dans cette petite église un retable en bois doré du XVIIe siècle dont le tableau représente la Vierge et l’Enfant entourés de trois saints. Deux autres tableaux sont assez remarquables : l’un représente l’Annonciation et l’autre l’Assomption. Ils ont été peints au XVIIIe siècle.
Avant ces travaux, cette église était bien petite ; elle ne pouvait plus contenir la population de la paroisse. Le curé David entreprit alors de la transformer et ses efforts persévérants furent couronnés de succès, puisque le 9 décembre 1877, le nouvel édifice recevait sa bénédiction.
A l’origine, cette église était dédiée à Sainte-Marie : elle était fort ancienne, car c’est en 1033 qu’elle paraît pour la première fois. Elle était alors donnée par l’évêque de Riez aux religieux de Saint-Victor. Ces moines la desservirent jusqu’à la fin du XVe siècle et laissèrent ensuite son administration aux prêtres du diocèse.
L’édifice se compose d’une nef, qui est voûtée et que de hautes fenêtres assez étroites éclairent. La façade s’ouvre d’une porte à plein cintre et le chevet est flanqué d’un clocher carré assez haut que coiffe un toit à quatre égouts. L’abside est tout ce qui reste de l’ancienne église. Les murs ayant été surélevés, la voûte de la nef, qui était en pierres, a fait place à une voûte en briques.
On peut voir dans cette petite église un retable en bois doré du XVIIe siècle dont le tableau représente la Vierge et l’Enfant entourés de trois saints. Deux autres tableaux sont assez remarquables : l’un représente l’Annonciation et l’autre l’Assomption. Ils ont été peints au XVIIIe siècle.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 05
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
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