Sainte-Roseline
Contenu
Commune, lieu-dit
Les Arcs
Nom du clocher
Sainte-Roseline
Eglise ou chapelle
Chapelle
Notice
Au début, cette chapelle était sous le vocable de Notre-Dame de Mont-Sion. Elle est située à la Celle-Roubaud.
En 1200, elle fut possession des Templiers, puis des bénédictines qui l’abandonnèrent en 1260 aux chartreusines.
En 1300, Roseline de Villeneuve en était prieure. Elle le resta jusqu’à sa mort, en 1329.
En 1334, la chapelle qui venait d’être agrandie était consacrée. Au milieu de cette même année, le pape Jean XXII canonisait sainte Roseline.
Dans la suite, le couvent subit des vicissitudes et les religieuses durent l’abandonner en 1499. En 1501, les Observantins s’y établirent. Pendant plus de deux siècles, ils seront les gardiens des restes de la sainte.
En 1554, le fond de l’abside était orné d’un retable encadrant une Piéta qu’on peut encore y voir.
Au XVIIe siècle, le corps de la sainte fut placé dans une châsse. Le 20 octobre 1657 le corps saint était transféré dans une châsse en argent, qui fut placée dans la chapelle latérale nouvellement édifiée.
Au XVIIIe siècle, le nombre de religieux diminua au point qu’un jour le couvent dut fermer ses portes. Mgr de Bausset, alors évêque de Fréjus, s’en rendit acquéreur. La Révolution survint qui s’en empara et mit la chapelle en vente avec le couvent. Une souscription publique la racheta plus tard.
En 1835, Mgr Michel fit faire une nouvelle translation du corps que les mites avaient attaqué. En 1894, Mgr Mignot présida un nouveau transfert dans une châsse en bronze, qui est celle que l’on voit de nos jours.
Quand au reliquaire qui contient les deux yeux, il est renfermé dans une armoire scellée dans le mur de la grande nef. De l’ancien monastère, il ne reste plus que le cloître. La chapelle, qui a deux nefs, mesure 20 mètres de long.
En 1200, elle fut possession des Templiers, puis des bénédictines qui l’abandonnèrent en 1260 aux chartreusines.
En 1300, Roseline de Villeneuve en était prieure. Elle le resta jusqu’à sa mort, en 1329.
En 1334, la chapelle qui venait d’être agrandie était consacrée. Au milieu de cette même année, le pape Jean XXII canonisait sainte Roseline.
Dans la suite, le couvent subit des vicissitudes et les religieuses durent l’abandonner en 1499. En 1501, les Observantins s’y établirent. Pendant plus de deux siècles, ils seront les gardiens des restes de la sainte.
En 1554, le fond de l’abside était orné d’un retable encadrant une Piéta qu’on peut encore y voir.
Au XVIIe siècle, le corps de la sainte fut placé dans une châsse. Le 20 octobre 1657 le corps saint était transféré dans une châsse en argent, qui fut placée dans la chapelle latérale nouvellement édifiée.
Au XVIIIe siècle, le nombre de religieux diminua au point qu’un jour le couvent dut fermer ses portes. Mgr de Bausset, alors évêque de Fréjus, s’en rendit acquéreur. La Révolution survint qui s’en empara et mit la chapelle en vente avec le couvent. Une souscription publique la racheta plus tard.
En 1835, Mgr Michel fit faire une nouvelle translation du corps que les mites avaient attaqué. En 1894, Mgr Mignot présida un nouveau transfert dans une châsse en bronze, qui est celle que l’on voit de nos jours.
Quand au reliquaire qui contient les deux yeux, il est renfermé dans une armoire scellée dans le mur de la grande nef. De l’ancien monastère, il ne reste plus que le cloître. La chapelle, qui a deux nefs, mesure 20 mètres de long.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
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