Notre-Dame
Contenu
Commune, lieu-dit
La Roquebrussanne
Nom du clocher
Notre-Dame
Patron
Notre-Dame de la Nativité
Titulaire
Saint Sauveur
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse d'Aix
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 3 nefs + 4 travées
- Voûte d’arêtes
- Arceaux gothiques
- Piliers en forme octogonale
- Chevet plat
- Façade avec contreforts
- Portail gothique
- Clocher avec flèche au chevet
- Dimension : 30 mètres de long – 14 mètres de large – 16 mètres de haut
- Voûte d’arêtes
- Arceaux gothiques
- Piliers en forme octogonale
- Chevet plat
- Façade avec contreforts
- Portail gothique
- Clocher avec flèche au chevet
- Dimension : 30 mètres de long – 14 mètres de large – 16 mètres de haut
Historique
- XIe : l’église paroissiale primitive, qui est aujourd’hui la chapelle Notre-Dame d’Inspiration dans l’ancien village
- 1448 : commencement de la construction de l’église
- 1588 : réparations des dégâts commis par les troupes à l’église
- 1808 : pose du maître autel acheté à Roux de Corse, ancien seigneur de Brue-Auriac
- 1448 : commencement de la construction de l’église
- 1588 : réparations des dégâts commis par les troupes à l’église
- 1808 : pose du maître autel acheté à Roux de Corse, ancien seigneur de Brue-Auriac
Oeuvres d'art / Particularités
- Tableau sur bois de la Transfiguration
- Statue en bois du roi Saint Louis
- Croix en bois du XVIIIe siècle
- Bénitier du XVIe – classé
- Bénitier du XVIIe – classé
- Statue en bois du roi Saint Louis
- Croix en bois du XVIIIe siècle
- Bénitier du XVIe – classé
- Bénitier du XVIIe – classé
Notice
Au XIe siècle, la chapelle Notre-Dame était l’église paroissiale du village, qui se trouvait alors sur la colline à l’est de l’agglomération actuelle. Les habitants ayant petit à petit quitté les hauteurs pour s’installer dans la plaine, une église y fut construite en 1448 et dédiée au Saint Sauveur. Cette église, qui est celle de nos jours, est située à l’entrée du bourg. Elle mesure 30 mètres de long.
Elle comporte trois nefs, qui sont voûtées d’arêtes aux arceaux gothiques. La nef centrale est séparée de ses collatéraux par une série de piliers de forme octogonale composant quatre travées, au fond desquelles se trouvent des autels.
La forme primitive de cette église était celle d’un simple rectangle, au chevet plat, sans chœur absidial. Ce n’est que plus tard que l’on construisit l’enfoncement autour duquel s’alignent les stalles. D’ailleurs cette partie de l’église diffère du reste par sa voûte qui est à berceau à plein cintre.
Le vaisseau est assez vaste. Il est sobrement éclairé par quatre baies longues et étroites, ouvertes au-dessus des arcades et par la rosace de la façade.
Cette façade se présente sur la rue principale ; elle est soutenue par deux épais piliers entre lesquels un portail permet d’accéder dans la nef.
Le clocher, qui accote le chevet, est couronné par une flèche pyramidale.
Le tableau de la Cène, qui frappe le regard en entrant, remplaça celui sur bois de la Transfiguration, qui fut alors suspendu au dessus du tympan.
Les Beaux Arts ont classé deux bénitiers, un du XVIe siècle et l’autre du XVIIe, ainsi qu’une croix de bois du XVIIIe siècle.
Elle comporte trois nefs, qui sont voûtées d’arêtes aux arceaux gothiques. La nef centrale est séparée de ses collatéraux par une série de piliers de forme octogonale composant quatre travées, au fond desquelles se trouvent des autels.
La forme primitive de cette église était celle d’un simple rectangle, au chevet plat, sans chœur absidial. Ce n’est que plus tard que l’on construisit l’enfoncement autour duquel s’alignent les stalles. D’ailleurs cette partie de l’église diffère du reste par sa voûte qui est à berceau à plein cintre.
Le vaisseau est assez vaste. Il est sobrement éclairé par quatre baies longues et étroites, ouvertes au-dessus des arcades et par la rosace de la façade.
Cette façade se présente sur la rue principale ; elle est soutenue par deux épais piliers entre lesquels un portail permet d’accéder dans la nef.
Le clocher, qui accote le chevet, est couronné par une flèche pyramidale.
Le tableau de la Cène, qui frappe le regard en entrant, remplaça celui sur bois de la Transfiguration, qui fut alors suspendu au dessus du tympan.
Les Beaux Arts ont classé deux bénitiers, un du XVIe siècle et l’autre du XVIIe, ainsi qu’une croix de bois du XVIIIe siècle.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 04
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND