Saint-Victor
Contenu
Commune, lieu-dit
La Motte
Nom du clocher
Saint-Victor
Patron
Saint Quinis
Titulaire
Saint Victor
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Fréjus
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 2 nefs
- La grande est l’ancienne église
- La petite fut ajoutée en 1787
- Nef principale voûtée en plein cintre
- Chevet carré voûtée d’arêtes
- Clocher bas et trapu accotant la façade
- La grande est l’ancienne église
- La petite fut ajoutée en 1787
- Nef principale voûtée en plein cintre
- Chevet carré voûtée d’arêtes
- Clocher bas et trapu accotant la façade
Historique
- 1044 : construction de l’église Saint-Victor par le vicomte Guillaume
- 1052 : Bertrand, évêque de Fréjus, consacre cette église le 18 novembre et la dédie à saint Victor.
- 1748 : Girardin écrit dans sa description du diocèse que l’église paroissiale et le château s’étant éboulés, la chapelle de Notre-Dame du Chemin servit d’église paroissiale
- 1787 : l’église restaurée reçoit une seconde nef
- 1052 : Bertrand, évêque de Fréjus, consacre cette église le 18 novembre et la dédie à saint Victor.
- 1748 : Girardin écrit dans sa description du diocèse que l’église paroissiale et le château s’étant éboulés, la chapelle de Notre-Dame du Chemin servit d’église paroissiale
- 1787 : l’église restaurée reçoit une seconde nef
Notice
En 1044, une église était édifiée au lieu de la Motte et aussitôt confiée aux religieux de Saint-Victor de Marseille, qui placèrent ce sanctuaire sous le vocable du saint patron de l’abbaye marseillaise.
Peu après, en 1052, le 18 novembre, cette église était consacrée par l’évêque de Fréjus, Bertrand.
Au XVIIIe siècle, Girardin, historien local, écrivait que cette église s’était effondrée en même temps que le château ; mais qu’elle fut réparée et rendue au culte.
L’édifice a une grande nef, qui n’est autre que l’église primitive. En 1787, on édifia un collatéral, qui forme ainsi une seconde nef.
La nef principale est voûtée en plein cintre et en berceau, avec des arcs doubleaux retombant sur des pilastres, Un cordon sur lequel repose la voûte cerne la nef.
Au fond, un chevet à pans carrés et voûté d’arêtes. La grande nef est séparée du bas côté par des arcades en plein cintre.
Un clocher assez bas, coiffé d’un toit pyramidal, accote la façade, qui s’ouvre d’une modeste porte, à laquelle on accède par quelques marches d’escalier.
Peu après, en 1052, le 18 novembre, cette église était consacrée par l’évêque de Fréjus, Bertrand.
Au XVIIIe siècle, Girardin, historien local, écrivait que cette église s’était effondrée en même temps que le château ; mais qu’elle fut réparée et rendue au culte.
L’édifice a une grande nef, qui n’est autre que l’église primitive. En 1787, on édifia un collatéral, qui forme ainsi une seconde nef.
La nef principale est voûtée en plein cintre et en berceau, avec des arcs doubleaux retombant sur des pilastres, Un cordon sur lequel repose la voûte cerne la nef.
Au fond, un chevet à pans carrés et voûté d’arêtes. La grande nef est séparée du bas côté par des arcades en plein cintre.
Un clocher assez bas, coiffé d’un toit pyramidal, accote la façade, qui s’ouvre d’une modeste porte, à laquelle on accède par quelques marches d’escalier.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 04
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND