Nativité de la Sainte Vierge (La)
Contenu
Commune, lieu-dit
La Londe
Nom du clocher
Nativité de la Sainte Vierge (La)
Titulaire
Nativité de la Sainte Vierge (La)
Détachement ou ancien ressort
Détachée de la paroisse d'Hyères
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 grande nef + 2 bas côtés
- Voûtées
- Abside arrondie
- Portail avec linteau de pierres
- Fenêtres géminées
- Clocher carré au chevet
- Voûtées
- Abside arrondie
- Portail avec linteau de pierres
- Fenêtres géminées
- Clocher carré au chevet
Historique
- 1842 : il y avait au quartier de La Londe une petite chapelle, existant avant la Révolution. En cette année 1842, elle est érigée en église paroissiale. Après la construction de l'église actuelle, elle fut démolie.
- 1844 : construction de la nef centrale. Bénédiction de la 1ere pierre le 17 novembre par M. l’abbé Vincent, curé d’Hyères.
- 1849 : le 31 janvier, les travaux sont terminés et l’église bénite par M. Cordouan, archiprêtre de Toulon. Deux chapelles absidiales sont construites, qui donnent à l’édifice la forme de la croix.
- 1922 : construction des deux bas-côtés
- 1844 : construction de la nef centrale. Bénédiction de la 1ere pierre le 17 novembre par M. l’abbé Vincent, curé d’Hyères.
- 1849 : le 31 janvier, les travaux sont terminés et l’église bénite par M. Cordouan, archiprêtre de Toulon. Deux chapelles absidiales sont construites, qui donnent à l’édifice la forme de la croix.
- 1922 : construction des deux bas-côtés
Notice
L’église paroissiale est dédiée à la Nativité de la Sainte Vierge. Elle est située en dehors de l’agglomération, vers le nord, sur la route qui va rejoindre la route de Pierrefeu à Collobrières.
Il y avait au siècle dernier, dans ce quartier une chapelle que Mgr Michel érigea en 1842 en église paroissiale. Elle fut démolie après la construction de l’église actuelle.
En 1844, la première pierre était bénite le 17 novembre par le curé d'Hyères M. Vincent. En 1849, le 31 janvier, M. Cordouan, archiprêtre de Toulon, bénissait la nouvelle église solennellement. Elle fut, quelques temps après, agrandie par la construction de deux chapelles, qui formèrent les bras de la croix. Cet édifice dure sous cette forme pendant trois quarts de siècle.
En 1922, la population s’étant considérablement accrue, il fallut agrandir encore une fois l’église de 1844. Pour cela, on construisit deux nefs en utilisant les deux chapelles. L’abside qui termine la nef centrale est de forme arrondie.
La façade aborde la route de Collobrières ; elle est encadrée à droite et à gauche des deux autres nefs, qui sont l’une et l’autre de même style que la nef centrale, c’est-à-dire que toutes trois portent un fronton triangulaire en guise de pignon.
La façade centrale s’ouvre d’un portail rectangulaire surmonté d’un entablement. Le vaisseau est assez bien éclairé par les trois fenêtres géminées, qui ont été ouvertes dans les deux bas côtés et par la rosace qui perce la façade principale.
Il y avait au siècle dernier, dans ce quartier une chapelle que Mgr Michel érigea en 1842 en église paroissiale. Elle fut démolie après la construction de l’église actuelle.
En 1844, la première pierre était bénite le 17 novembre par le curé d'Hyères M. Vincent. En 1849, le 31 janvier, M. Cordouan, archiprêtre de Toulon, bénissait la nouvelle église solennellement. Elle fut, quelques temps après, agrandie par la construction de deux chapelles, qui formèrent les bras de la croix. Cet édifice dure sous cette forme pendant trois quarts de siècle.
En 1922, la population s’étant considérablement accrue, il fallut agrandir encore une fois l’église de 1844. Pour cela, on construisit deux nefs en utilisant les deux chapelles. L’abside qui termine la nef centrale est de forme arrondie.
La façade aborde la route de Collobrières ; elle est encadrée à droite et à gauche des deux autres nefs, qui sont l’une et l’autre de même style que la nef centrale, c’est-à-dire que toutes trois portent un fronton triangulaire en guise de pignon.
La façade centrale s’ouvre d’un portail rectangulaire surmonté d’un entablement. Le vaisseau est assez bien éclairé par les trois fenêtres géminées, qui ont été ouvertes dans les deux bas côtés et par la rosace qui perce la façade principale.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 04
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND