Saint-Sauveur
Contenu
Commune, lieu-dit
Evenos
Nom du clocher
Saint-Sauveur
Patron
Saint Martin
Titulaire
Saint Sauveur
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Toulon
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef voûtée à croisée d’ogives avec plate bande
- Arcs doubleaux plein cintre
- Chevet plat
- Portail roman
- Epais contreforts
- Clocheton à deux baies sur le côté droit de la façade
- Arcs doubleaux plein cintre
- Chevet plat
- Portail roman
- Epais contreforts
- Clocheton à deux baies sur le côté droit de la façade
Historique
- XIe : la chapelle du château ne suffisant plus, une église plus vaste est construite dans l’enceinte, dédiée à saint Martin
- XIIIe : on construit hors des murs l’église actuelle face à l’unique porte du castrum.
- 1619 : une ordonnance de l’évêque de Toulon prescrit de daller l’église
- XVIIIe siècle : un clocher assez élevé construit sur la muraille du sanctuaire dut être démoli car il surchargeait la dite muraille
- 1960 : des réparations s’imposent à l’édifice. Pendant un temps l’église est interdite.
- XIIIe : on construit hors des murs l’église actuelle face à l’unique porte du castrum.
- 1619 : une ordonnance de l’évêque de Toulon prescrit de daller l’église
- XVIIIe siècle : un clocher assez élevé construit sur la muraille du sanctuaire dut être démoli car il surchargeait la dite muraille
- 1960 : des réparations s’imposent à l’édifice. Pendant un temps l’église est interdite.
Oeuvres d'art / Particularités
- Bannières de saint Martin avec peintures naïves
- Buste de saint Martin
- Débris d’un retable primitif
- Crucifix et 6 chandeliers ornent le maître-autel. C’est un don de Napoléon III
- Buste de saint Martin
- Débris d’un retable primitif
- Crucifix et 6 chandeliers ornent le maître-autel. C’est un don de Napoléon III
Notice
L’église d’Evenos placée sous le vocable de Saint-Sauveur est située à l’extrémité nord-est du village, en dehors des anciens remparts. Elle fut construite au XIIIe siècle pour remplacer l’antique église Saint-Martin, qui servait aussi de chapelle au château. Cette église est orientée. Elle est entièrement construite en pierres de moyen appareil.
Elle est constituée d’une seule nef couverte par une voûte à croisée d’ogives, aux nervures en bandeaux tombant sur des pilastres. Tout le long des murs, entre les pilastres des arcatures en plein cintre ont été pratiqué formant les travées. La nef se termine par un chevet plat.
De longues et étroites fenêtres semblables à des meurtrières éclairent parcimonieusement la nef.
La façade fait face à une ancienne porte des remparts ; elle est percée par un oculus et s’ouvre d’une entrée au portail en plein cintre.
Il y aurait eu jadis un clocher carré d’une grande hauteur, dit une délibération du XVIIIe siècle. Il dut être démoli parce qu’il surchargeait trop la muraille du sanctuaire. On lui substitua alors ce curieux clocheton qui jouxte la façade.
Tout l’édifice est étayé par des contreforts, qui eux-mêmes durent souvent être réparés. Vers l’année 1960, la solidité de l’édifice parut compromise à tel point qu’on dut pendant un temps fermer et interdire son entrée, jusqu’à ce que de sérieux travaux eurent assuré la sécurité des fidèles.
Elle est constituée d’une seule nef couverte par une voûte à croisée d’ogives, aux nervures en bandeaux tombant sur des pilastres. Tout le long des murs, entre les pilastres des arcatures en plein cintre ont été pratiqué formant les travées. La nef se termine par un chevet plat.
De longues et étroites fenêtres semblables à des meurtrières éclairent parcimonieusement la nef.
La façade fait face à une ancienne porte des remparts ; elle est percée par un oculus et s’ouvre d’une entrée au portail en plein cintre.
Il y aurait eu jadis un clocher carré d’une grande hauteur, dit une délibération du XVIIIe siècle. Il dut être démoli parce qu’il surchargeait trop la muraille du sanctuaire. On lui substitua alors ce curieux clocheton qui jouxte la façade.
Tout l’édifice est étayé par des contreforts, qui eux-mêmes durent souvent être réparés. Vers l’année 1960, la solidité de l’édifice parut compromise à tel point qu’on dut pendant un temps fermer et interdire son entrée, jusqu’à ce que de sérieux travaux eurent assuré la sécurité des fidèles.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
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