Notre-Dame de l’Assomption
Contenu
Commune, lieu-dit
Carnoules
Nom du clocher
Notre-Dame de l’Assomption
Patron
Notre-Dame
Titulaire
Notre-Dame de l’Assomption
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Toulon
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef +2 bas-côtés
- Voûte à berceau plein cintre
- Chevet carré
- Façade avec fenêtre en triplet
- Portail surmonté d’un fronton
- Clocher carré au chevet
- Particularité : cadran solaire sur la façade
- Voûte à berceau plein cintre
- Chevet carré
- Façade avec fenêtre en triplet
- Portail surmonté d’un fronton
- Clocher carré au chevet
- Particularité : cadran solaire sur la façade
Historique
- 1383 : Chateau-Royal où se trouvait l’église primitive est détruit et l’église ruinée
- 1477 : le prieuré de Château-Royal est donné aux dominicains de Saint-Maximin
- 1520 : les habitants s’établissent au hameau de Carnoules. Une église y est bâtie dédiée à la Sainte-Vierge
- 1842 : une nouvelle église est bâtie dans le village de Carnoules. En septembre, Mgr Michel vient la bénir.
- 1477 : le prieuré de Château-Royal est donné aux dominicains de Saint-Maximin
- 1520 : les habitants s’établissent au hameau de Carnoules. Une église y est bâtie dédiée à la Sainte-Vierge
- 1842 : une nouvelle église est bâtie dans le village de Carnoules. En septembre, Mgr Michel vient la bénir.
Notice
L’église de Notre-Dame, sous le vocable de son Assomption, est située au milieu du village. Elle fut construite en 1842 et bénite solennellement par Mgr Michel.
Primitivement, l’église paroissiale, qui était dédiée à Notre-Dame de Deicesa, s’élevait sur la colline du Château-royal, mais le village ayant été détruit en 1383, lors des guerres de succession de la reine Jeanne, les habitants, s’établirent dans la plaine. On essaya bien de faire revivre village et église, mais ce fut en vain.
En 1520, les habitants du hameau de Carnoules, qui avaient reçu ceux du Château-Royal, construisaient une chapelle, qui au cours des ans devint église paroissiale. Elle se situait sur l’emplacement de l’ancien cimetière où se trouve aujourd’hui un lavoir public.
Au XIXe siècle, cette petite église ne pouvait plus contenir les fidèles devenus nombreux. Il fut décidé de bâtir une église plus grande ; c’est l’église actuelle. Cette église se compose d’une nef se terminant par un chevet plat et de deux collatéraux. Ces trois nefs sont couvertes par une voûte à berceau.
La façade, qui a sous son pignon un cadran solaire, se tourne sur une petite place ; elle est ornée d’une fenêtre en triplet et s’ouvre d’une porte au fronton triangulaire reposant sur deux pilastres.
Accotant le chevet, un clocher carré dresse sa haute tour que coiffe un campanile.
A l’intérieur, rien de remarquable sinon une ancienne croix de Pénitents placée sur le maître-autel et des tableaux dont quelques uns ne sont pas sans valeur.
Primitivement, l’église paroissiale, qui était dédiée à Notre-Dame de Deicesa, s’élevait sur la colline du Château-royal, mais le village ayant été détruit en 1383, lors des guerres de succession de la reine Jeanne, les habitants, s’établirent dans la plaine. On essaya bien de faire revivre village et église, mais ce fut en vain.
En 1520, les habitants du hameau de Carnoules, qui avaient reçu ceux du Château-Royal, construisaient une chapelle, qui au cours des ans devint église paroissiale. Elle se situait sur l’emplacement de l’ancien cimetière où se trouve aujourd’hui un lavoir public.
Au XIXe siècle, cette petite église ne pouvait plus contenir les fidèles devenus nombreux. Il fut décidé de bâtir une église plus grande ; c’est l’église actuelle. Cette église se compose d’une nef se terminant par un chevet plat et de deux collatéraux. Ces trois nefs sont couvertes par une voûte à berceau.
La façade, qui a sous son pignon un cadran solaire, se tourne sur une petite place ; elle est ornée d’une fenêtre en triplet et s’ouvre d’une porte au fronton triangulaire reposant sur deux pilastres.
Accotant le chevet, un clocher carré dresse sa haute tour que coiffe un campanile.
A l’intérieur, rien de remarquable sinon une ancienne croix de Pénitents placée sur le maître-autel et des tableaux dont quelques uns ne sont pas sans valeur.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND