Notre-Dame de l’Assomption
Contenu
Commune, lieu-dit
Callas
Nom du clocher
Notre-Dame de l’Assomption
Patron
Saint Ausile
Titulaire
Notre-Dame de l’Assomption
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Fréjus
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef + 1 bas côté
- Voûte à berceau dans la partie entre le portail et la chaire
- Voûte d’arêtes dans la partie moderne
- Abside à pans
- Porche ogival
- Façade en pierres appareillées
- Clocher avec flèche sur la façade
- Voûte à berceau dans la partie entre le portail et la chaire
- Voûte d’arêtes dans la partie moderne
- Abside à pans
- Porche ogival
- Façade en pierres appareillées
- Clocher avec flèche sur la façade
Historique
- XIe : construction de la partie comprise entre le portail et la chaire
- 1673 : prolongation de la nef (parti comprise entre la chaire et le chœur)
- 1761 : agrandissement par adjonction d’un bas-côté (chapelle du Rosaire)
- 1890 : construction de la façade et du clocher
- 1673 : prolongation de la nef (parti comprise entre la chaire et le chœur)
- 1761 : agrandissement par adjonction d’un bas-côté (chapelle du Rosaire)
- 1890 : construction de la façade et du clocher
Oeuvres d'art / Particularités
- Retable du cœur
- Retable de saint Ausile (XVIe) avec légende en provençal (classé)
- Autres retables
- Buste reliquaire de saint Ausile
- Statuette en argent de la Vierge
- Statuettes en marbre des Évangélistes
- Retable de saint Ausile (XVIe) avec légende en provençal (classé)
- Autres retables
- Buste reliquaire de saint Ausile
- Statuette en argent de la Vierge
- Statuettes en marbre des Évangélistes
Notice
L’église de Callas est citée en 1055 comme confiée aux religieux de Saint-Victor. En 1114, dans une bulle de Pascal II, elle est de nouveau mentionnée, mais sous le vocable de Saint-Ausile.
L’église actuelle a conservé une partie de cette église primitive, qui a été englobée dans la construction moderne ; c’est cette partie de la nef qui va du portail à la chaire ; l’autre partie qui va jusqu’au sanctuaire a été ajoutée en 1673, et enfin, en 1761, un dernier agrandissement donnait le bas-côté de la chapelle du Rosaire. Chaque période est marquée de son style. C’est ainsi que la partie la plus ancienne est couverte par une voûte à berceau à l’arc légèrement brisé venant reposer sur un cordon ; la partie édifiée au XVIIe siècle est voûtée d’arêtes ; des arcs doubleaux renforcent ces deux sortes de voûtes et retombent sur des pilastres.
L’édifice primitif est encore reconnaissable aux pierres de moyen appareil qui entrent dans sa construction, tandis que la partie ajoutée est faite de simple maçonnerie.
Une façade fut édifiée en 1890 ; elle est construite dans le genre ancien, c’est-à-dire en pierres de taille assemblées en assise ; elle s’ouvre d’un portail ogival qu’encadrent de hauts contreforts semblant soutenir le clocher avec sa flèche et ses quatre clochetons.
Cette église renferme un trésor artistique et ancien : l’abside à 3 pans est ornée d’un retable qui déborde le panneau central. Dans la nef, on voit d’autres retables remarquables, comme celui de saint Ausile, qui est du XVIe siècle, avec sa légende en provençal et un triptyque ; un buste reliquaire de saint Ausile ; une statuette en argent de la Vierge et plusieurs statuettes en marbre représentant des Évangélistes.
L’église actuelle a conservé une partie de cette église primitive, qui a été englobée dans la construction moderne ; c’est cette partie de la nef qui va du portail à la chaire ; l’autre partie qui va jusqu’au sanctuaire a été ajoutée en 1673, et enfin, en 1761, un dernier agrandissement donnait le bas-côté de la chapelle du Rosaire. Chaque période est marquée de son style. C’est ainsi que la partie la plus ancienne est couverte par une voûte à berceau à l’arc légèrement brisé venant reposer sur un cordon ; la partie édifiée au XVIIe siècle est voûtée d’arêtes ; des arcs doubleaux renforcent ces deux sortes de voûtes et retombent sur des pilastres.
L’édifice primitif est encore reconnaissable aux pierres de moyen appareil qui entrent dans sa construction, tandis que la partie ajoutée est faite de simple maçonnerie.
Une façade fut édifiée en 1890 ; elle est construite dans le genre ancien, c’est-à-dire en pierres de taille assemblées en assise ; elle s’ouvre d’un portail ogival qu’encadrent de hauts contreforts semblant soutenir le clocher avec sa flèche et ses quatre clochetons.
Cette église renferme un trésor artistique et ancien : l’abside à 3 pans est ornée d’un retable qui déborde le panneau central. Dans la nef, on voit d’autres retables remarquables, comme celui de saint Ausile, qui est du XVIe siècle, avec sa légende en provençal et un triptyque ; un buste reliquaire de saint Ausile ; une statuette en argent de la Vierge et plusieurs statuettes en marbre représentant des Évangélistes.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND