Saint-Georges
Contenu
Commune, lieu-dit
Brue-Auriac
Nom du clocher
Saint-Georges
Patron
Saint Georges
Titulaire
Notre-Dame de l’Assomption
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse d'Aix
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 1 nef
- Voûte plein cintre
- Abside semi-circulaire
- Portail roman
- Clocher mitre sur la façade
- Voûte plein cintre
- Abside semi-circulaire
- Portail roman
- Clocher mitre sur la façade
Historique
- 1155 : bénédiction de l’église Notre-Dame
- 1828 : on ouvre une église sur le Cours car Notre-Dame est trop éloignée
- 1857 : construction de l’église actuelle
- 1898 : la voûte a de nombreuses fentes ; on doit fermer l’église
- 1912 : l’édifice est racheté et rendu au culte après avoir été restauré
- 1828 : on ouvre une église sur le Cours car Notre-Dame est trop éloignée
- 1857 : construction de l’église actuelle
- 1898 : la voûte a de nombreuses fentes ; on doit fermer l’église
- 1912 : l’édifice est racheté et rendu au culte après avoir été restauré
Notice
L’église est dédiée à saint Georges . Elle n’a guère plus d’un siècle d’existence, puisque c’est le 1er août 1858 qu’elle fut ouverte au culte.
Elle succédait au vénérable sanctuaire de Notre-Dame de Brue et à la chapelle en cours. La nouvelle église eut une jeunesse mouvementée, car 20 ans après son inauguration, elle donnait des signes de ruine prochaine. Ce qui ne devait pas tarder à se réaliser, car en 1898, ses murs se lézardant de façon inquiétante, il fallut en interdire l’entrée. Cette mesure dura jusqu’en 1913. Alors, après avoir été sérieusement restaurée, elle fut rendue au culte. Depuis ce temps là, elle n’a plus donné de sujets d’inquiétude.
Cette église n’a qu’une seule nef, voûtée en berceau plein cintre, avec des arcs doubleaux tombant sur des pilastres. De chaque côté à la hauteur de la table de communion, deux chapelles ont été édifiées pour recevoir chacune un autel. Des arceaux ont été élevés dans la longueur des murs de la nef afin de consolider les murs. Entre les arceaux, qui forment comme des travées, de grandes fenêtres dispensent une abondante lumière.
Le chœur est constitué par une abside en cul-de-four au fond de laquelle on a ouvert une niche, qui a reçu une statue de la Vierge.
La façade, que perce une assez grande baie, fait face au Cours. Elle est surmontée d’un clocheton et des contreforts la soutiennent. Son porche qui est en pur roman a son arc qui repose sur deux colonnes.
Cette église avait été construite en partie par un apport de la commune et en partie par un apport des fidèles. Après la loi de séparation, alors que le culte ne s’y célébrait plus, deux généreuses paroissiennes la rachètent à la commune pour la somme de 1 000 francs (1912).
Elle succédait au vénérable sanctuaire de Notre-Dame de Brue et à la chapelle en cours. La nouvelle église eut une jeunesse mouvementée, car 20 ans après son inauguration, elle donnait des signes de ruine prochaine. Ce qui ne devait pas tarder à se réaliser, car en 1898, ses murs se lézardant de façon inquiétante, il fallut en interdire l’entrée. Cette mesure dura jusqu’en 1913. Alors, après avoir été sérieusement restaurée, elle fut rendue au culte. Depuis ce temps là, elle n’a plus donné de sujets d’inquiétude.
Cette église n’a qu’une seule nef, voûtée en berceau plein cintre, avec des arcs doubleaux tombant sur des pilastres. De chaque côté à la hauteur de la table de communion, deux chapelles ont été édifiées pour recevoir chacune un autel. Des arceaux ont été élevés dans la longueur des murs de la nef afin de consolider les murs. Entre les arceaux, qui forment comme des travées, de grandes fenêtres dispensent une abondante lumière.
Le chœur est constitué par une abside en cul-de-four au fond de laquelle on a ouvert une niche, qui a reçu une statue de la Vierge.
La façade, que perce une assez grande baie, fait face au Cours. Elle est surmontée d’un clocheton et des contreforts la soutiennent. Son porche qui est en pur roman a son arc qui repose sur deux colonnes.
Cette église avait été construite en partie par un apport de la commune et en partie par un apport des fidèles. Après la loi de séparation, alors que le culte ne s’y célébrait plus, deux généreuses paroissiennes la rachètent à la commune pour la somme de 1 000 francs (1912).
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND