Notre-Dame de l’Assomption
Contenu
Commune, lieu-dit
Baudinard
Nom du clocher
Notre-Dame de l’Assomption
Patron
Saint Michel
Titulaire
Notre-Dame de l’Assomption
Détachement ou ancien ressort
Ancien diocèse de Riez
Eglise ou chapelle
Eglise
Brève description de la construction
- 2 nefs
- Voûtées en plein cintre
- Abside en cul-de-four
- Clocher carré – à gauche du porche
- Particularité : dans le bas-côté, on peut voir une dalle portant cette inscription : tombeau des Sabran-Baudinard
- Voûtées en plein cintre
- Abside en cul-de-four
- Clocher carré – à gauche du porche
- Particularité : dans le bas-côté, on peut voir une dalle portant cette inscription : tombeau des Sabran-Baudinard
Historique
- 1118 : mention de l’église, qui est alors confiée aux religieux de Lérins
- 1718 : inventaire de ce que contient l’église ; on y mentionne un reliquaire contenant les reliques de Saint Blaise
- 1921 : restauration de l’église
- 1718 : inventaire de ce que contient l’église ; on y mentionne un reliquaire contenant les reliques de Saint Blaise
- 1921 : restauration de l’église
Notice
L’église Notre-Dame de Baudinard est mentionnée dès 1118 ; elle était alors confiée aux religieux de Lérins.
A l’origine, elle n’avait qu’une seule nef ; cependant au XVIIe siècle on ajouta une seconde nef qui était plus basse. La grande nef a une voûte à berceau à l’arc légèrement brisé, qui retombe sur un cordon de pierre : cette voûte est coupée par des arcs doubleaux, qui retombent sur des pilastres ; le mur du côté de l’Evangile a été ouvert en arcades en plein cintre quand on construisit le collatéral, au XVIIe siècle. L’abside est en cul-de-four et son arc triomphal est un parfait plein cintre. Le matériau employé dans la nef principale, murs, voûte et abside a été la pierre de taille qu’on a malheureusement couverte d’un enduit. Le bas-côté était réservé jadis à la famille seigneuriale ; il s’y trouve une dalle portant l’inscription : « tombeau des Sabran-Baudinard ». Ce bas-côté aurait communiqué avant la Révolution avec le château par un souterrain, qui depuis a été comblé. Au chevet, s’élève un clocher carré. En 1921, tout édifice a fait l’objet d’une sérieuse restauration.
A l’origine, elle n’avait qu’une seule nef ; cependant au XVIIe siècle on ajouta une seconde nef qui était plus basse. La grande nef a une voûte à berceau à l’arc légèrement brisé, qui retombe sur un cordon de pierre : cette voûte est coupée par des arcs doubleaux, qui retombent sur des pilastres ; le mur du côté de l’Evangile a été ouvert en arcades en plein cintre quand on construisit le collatéral, au XVIIe siècle. L’abside est en cul-de-four et son arc triomphal est un parfait plein cintre. Le matériau employé dans la nef principale, murs, voûte et abside a été la pierre de taille qu’on a malheureusement couverte d’un enduit. Le bas-côté était réservé jadis à la famille seigneuriale ; il s’y trouve une dalle portant l’inscription : « tombeau des Sabran-Baudinard ». Ce bas-côté aurait communiqué avant la Révolution avec le château par un souterrain, qui depuis a été comblé. Au chevet, s’élève un clocher carré. En 1921, tout édifice a fait l’objet d’une sérieuse restauration.
Auteur
Chanoine Louis Malausse (1899-1976)
Cote
FR AEC 83 / 1F 03
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND