Un Ange sur la Terre : Yvonne Aubert (1906)
Contenu
Titre
Un Ange sur la Terre : Yvonne Aubert (1906)
Titre alternatif
Un Ange sur la Terre - Pieux souvenirs recueillis sur Mademoiselle Yvonne Aubert de la Castille à sa mère
Créateur de l'ouvrage
Marie S.
Description de l'ouvrage
Hommage à Yvonne Aubert, récemment défunte, par son ancienne préceptrice
Editeur
Saint-Maurice - Imprimerie de l'Oeuvre Saint-Augustin
Date originelle du Document
Juin 1905
Date de publication de l'ouvrage
1908
contenu
[Extrait]
VERS DÉDIÉS À YVONNE AUBERT De LA CASTILLE
Par LE R. P. Victor JOUËT
YVONNE
« Comme ce doit être beau près du Bon Dieu !! » (Son bouquet spirituel)
- « Que vois-tu donc, Yvonne, à l’horizon lointain ? »
- « Je vois que tout s’enfuit, sans laisser nulle trace ;
Que le plus grand trésor, ô mon Dieu, c’est ta grâce ;
Et que du vrai bonheur la mort est le matin »
- « Que gagne donc, Yvonne, un chrétien qui trépasse ? »
- « Il s’envole au vrai jour, en laissant l’incertain ;
Il s’en va de la terre au céleste Festin ;
Il a le Bien sans fin, pour tout vain bien qui passe ».
- « Qu’obtiens-tu donc, Yvonne, à tes parents en pleurs ? »
- « Autant de dons choisis qu’ils eurent de douleurs.
Je protège, d’en haut, Maman pour moi si bonne,
« Mon bon papa chéri, mon Frère bien-aimé.
De leur doux souvenir j’ai mon cœur embaumé ;
Au ciel, près du Bon Dieu, les attend leur Yvonne ».
V. J.
VERS DÉDIÉS À YVONNE AUBERT De LA CASTILLE
Par LE R. P. Victor JOUËT
YVONNE
« Comme ce doit être beau près du Bon Dieu !! » (Son bouquet spirituel)
- « Que vois-tu donc, Yvonne, à l’horizon lointain ? »
- « Je vois que tout s’enfuit, sans laisser nulle trace ;
Que le plus grand trésor, ô mon Dieu, c’est ta grâce ;
Et que du vrai bonheur la mort est le matin »
- « Que gagne donc, Yvonne, un chrétien qui trépasse ? »
- « Il s’envole au vrai jour, en laissant l’incertain ;
Il s’en va de la terre au céleste Festin ;
Il a le Bien sans fin, pour tout vain bien qui passe ».
- « Qu’obtiens-tu donc, Yvonne, à tes parents en pleurs ? »
- « Autant de dons choisis qu’ils eurent de douleurs.
Je protège, d’en haut, Maman pour moi si bonne,
« Mon bon papa chéri, mon Frère bien-aimé.
De leur doux souvenir j’ai mon cœur embaumé ;
Au ciel, près du Bon Dieu, les attend leur Yvonne ».
V. J.
Relation
Détenteur des droits
Archives diocésaines de Fréjus-Toulon
Licence
Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification
CC BY-NC-ND
CC BY-NC-ND